Dans leurs vœux respectifs, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel se sont attardés sur la crise qui frappe l’Europe, mais le pessimisme est plus marqué côté français. L’enlisement économique des États de la périphérie « a entraîné dans la tourmente des pays comme la Grèce, l’Irlande, le Portugal, mais également des pays aussi puissants que l’Espagne et même l’Italie », a rappelé le président dans une allocution de moins de dix minutes.
Consciente du "chemin à parcourir", la chancelière allemande anticipe…