La Commission européenne se donne en 2015 un programme de travail allégé. Elle retire des directives et en proposera moins. Est-ce une victoire pour la Grande-Bretagne, ou cela reste-t-il insuffisant ?
C’est une bonne nouvelle pour toute l’Europe. Je suis ravi des engagements pris pour approfondir le marché européen des services, du numérique et de l’énergie. Cela sera profitable pour l’économie de l’UE, qui doit faire plus sur les grands enjeux et moins sur les petits.