Moins de trois semaines avant le sommet européen du 30 janvier, l’union budgétaire que les dirigeants européens appellent de leurs voeux ressemble de plus en plus à un exercice de haute voltige juridique.
Un montage complexe dont l’Europe aurait pu se passer, selon l’eurodéputé italien Roberto Gualtieri (S&D) qui a participé aux négociations organisées le 6 janvier sur la rédaction de l’accord international. Convaincu qu’un « nouveau traité n’était pas nécessaire », l’élu déplore l’apparition de décalages entre les règles…