Londres et Berlin
Le Premier ministre britannique est vu comme l'un des principaux responables de l'échec du sommet. Pour lui, «l'accord sur la table n'était tout simplement pas assez bon. Il n'était pas assez bon pour la Grande-Bretagne, mais il n'était pas assez bon pour plusieurs pays ».
« Au Royaume-Uni, nous réduisons les budgets de l'administration d'un tiers, le personnel de la fonction publique de 10 % en deux ans. [Aucune de ces mesures] n'est facile. Dans le même temps, Bruxelles continue…