Les temps ont changé. En novembre 2014, alors que la Commission de Jean-Claude Juncker se mettait en place, un air de défaite planait pour Paris. La France avait bien réussi à placer des Français dans une vingtaine de cabinets, mais avait échoué à récupérer les postes les plus élevés (relire notre article ). Symbole de cette perte d’influence, aucun tricolore n’avait réussi à intégrer le cabinet du très stratégique commissaire à l’Agriculture.
Début 2020, alors qu’Ursula von der Leyen vient…