Le président le sait. Dans moins de trois ans, il sera jugé sur ses résultats européens.
« S’il n’arrive pas à faire passer des choses avant la fin de son mandat, ce seront des arguments donnés aux eurosceptiques et la démonstration d’une certaine forme d’impuissance », estime une source française haut placée.
« L’agenda nous est très favorable, expliquait mi-octobre Stéphane Séjourné, chef de la délégation Renaissance au Parlement européen. La présidence française [du Conseil de l’UE au premier semestre…