La libre circulation des données n’est pas un sujet consensuel, a admis la présidence slovaque de l’UE, interrogée par Contexte. Les États ne parviennent pas à se mettre d’accord, la France est résolument contre le fait de légiférer et la Commission est divisée.
Le secteur privé, en revanche, fait un lobbying intensif pour que l’exécutif européen propose un règlement contre les obligations de localisation des données.
On ne compte plus les lettres envoyées à la Commission et les posts de…