À Bruxelles, le nucléaire n’est pas la seule énergie à concentrer les tensions autour de la taxonomie verte. Le secteur hydroélectrique suit lui aussi de près le règlement européen destiné à encourager l’investissement dans les activités « durables ». Avec l’intention d’être ainsi labellisé.
Comme pour le nucléaire, le sort de l’industrie hydroélectrique intéresse tout particulièrement la France. Avec ses 2 663 barrages hydroélectriques planifiés ou construits, l’Hexagone est le troisième plus gros producteur d’hydroélectricité d'Europe après l’Allemagne et l’Autriche…