C’est le document que tout le monde attendait. En juillet 2020, le centre de recherche (JRC) de la Commission européenne a été chargé d’une lourde tâche : étudier la compatibilité du nucléaire avec le principe d’« absence de préjudice » climatique (« do no significant harm principle » en anglais). Un prérequis nécessaire pour que cette technologie, clé de voûte du système électrique français notamment, puisse intégrer la taxonomie « verte ».
Quelques mois plus tôt en effet, les experts…