Mardi 24 février au matin, les listes de vote n’étaient toujours pas prêtes au Parlement européen. Les négociations du week-end n’avaient pas permis de trouver un terrain d’entente entre les différents groupes politiques.
Personne ne se risquait à faire des pronostiques. Même pas le rapporteur libéral finlandais Nils Torvalds (ADLE).
« Je me suis réveillé à trois heures du matin la nuit dernière ; j’étais un peu nerveux », a-t-il confié à l’issue du vote.
C’est finalement, sa ligne, celle…