Un État n’a pas à notifier à la Commission un projet de loi interdisant un service de mise en relation entre chauffeurs et clients s’apparentant à une pratique illégale de l’activité de transport, a conclu Maciej Szpunar le 4 juillet. La France a donc eu raison de s’affranchir du consentement de Bruxelles sur la loi Thévenoud , qui a entraîné la disparition d’UberPop, selon l’avocat général de la CJUE.
Uber : la France à nouveau confortée par l’avocat général de la CJUE
04 juillet 2017 à 19h46