Nommé à la tête de l’Arafer par François Hollande à l’été 2016, Bernard Roman a connu sa première véritable épreuve législative, en tant que régulateur, avec le pacte ferroviaire d’Emmanuel Macron. L’ancien député s’est démené pour que soit conservé son avis conforme (c'est-à-dire contraignant) sur la tarification annuelle des péages. À entendre certains députés, il pourrait y avoir laissé des plumes.
"La loi prévaut sur le contrat"
En mars 2017, deux mois avant le terme du quinquennat Hollande, l'Arafer publie…