En 1996, les entreprises françaises consacraient 1,69% de leur valeur ajoutée à des projets de recherche et développement, contre 1,65% pour leurs homologues allemandes.
12 ans plus tard, la tendance s’est inversée : les investissements des entreprises tricolores ont cédé du terrain (1,47%), pendant que leurs voisines d’Outre Rhin ont redoublé d’efforts, avec 2,11% de leur valeur ajoutée affectée à la R&D.
Comment expliquer ce contraste ? Une étude publiée ce mois-ci par la direction générale de la compétitivité, de…