La porte n’est pas grande ouverte, mais elle n’est pas fermée non plus. En l’espace de deux semaines, des déclarations quasi-simultanées de Paris et Berlin donnent une once de relance au processus d’adhésion de la Turquie à l’UE. Confrontée à une coalition gouvernementale divisée sur le dossier turc, la chancelière entretient volontiers l’ambiguïté.
« Sceptique » sur l’entrée du pays dans l’Union, « j'ai accepté la poursuite des discussions d'adhésion », a souligné Angela Merkel dans son message vidéo traditionnel de fin…