Le projet de loi sur le terrorisme ne comprend pas que des dispositions destinées à lutter contre les jihadistes. Le gouvernement a placé, en fin de texte, des mesures contre les intrusions informatiques, qu'elles soient ou non liées au terrorisme.
Souvent, les dispositions importantes sont placées en fin de texte, les députés passant beaucoup de temps sur les premiers articles avant d'accélérer les débats. Une volonté de faire passer en toute discrétion une extension des pouvoirs de la police ?