Les bonnes intentions des États ont montré leurs limites au Sommet de l’IA. La France a réussi à faire signer par environ 60 pays (avec les exceptions notables des États-Unis et du Royaume-Uni) la déclaration finale du sommet , qui s’est achevé le 11 février. Celle-ci fait reconnaître le besoin d’une gouvernance mondiale de l’IA, de prise en compte des limites planétaires, ainsi que l’intérêt général et le bien-être des travailleurs, dans le développement de l’IA.
Mais, en parallèle, la…