Depuis l’accord du 21 juillet dernier, la pression exercée par les marchés sur les titres de dette italienne et espagnole s’est accentuée, au point que les investisseurs ne veulent plus aujourd’hui acheter des obligations de long terme italiennes à des taux d’intérêt inférieurs à 6%.
Renforcer la force de frappe du FESF était donc devenu inévitable, d’autant plus qu’une grande partie de ses ressources disponibles a déjà été engagée dans les plans de soutien irlandais, portugais et grec (le deuxième…