Le gouvernement français n'en veut pas. Et il n'est pas seul.
C'est le message envoyé par la ministre du Commerce Nicole Bricq, vendredi 7 mars, devant le European American Press Club à Paris, au sujet de l'inscription d'un mécanisme de règlement des différends entre investisseurs et États dans l'accord commercial transatlantique (TTIP).
"La France n'est pas favorable à l'inclusion d'un tel mécanisme, qui suscite beaucoup de préventions, mais pas que de la France."
Les Allemands sceptiques
De fait, le gouvernement allemand,…