La réunion des ministres de l’Agriculture et de la pêche du 27 avril n’aura pas été de tout repos pour la commissaire européenne en charge du dossier, Maria Damanaki. Une quinzaine d’États, dont la France, s’est ouvertement positionnée contre l’une des mesures phrases de sa réforme de la politique commune de pêche (PCP).
Paris s’est dit « fermement opposé » à la libéralisation des échanges de quotas de prises de poissons. Le représentant français a souligné que les ressources halieutiques…