Contexte :
Depuis les années 1960, plus de 20 partis politiques, pour la plupart pro-islamistes ou pro-kurdes, ont été interdits par la justice turque pour atteinte aux principes de la laïcité. Mais jusqu’à présent, aucun de ces partis n’a encore connu la popularité de l’AKP.
En mars, le plus haut procureur du pays a non seulement requis la dissolution de l’AKP, mais également une peine d’inéligibilité de 5 ans à l’encontre du Premier ministre Tayyip Erdogan, du président Abdullah Gül…