Le premier ministre polonais, Donald Tusk, est arrivé parmi les premiers au Conseil européen, lundi 30 janvier, avec la ferme intention d’obtenir un siège à la table des réunions de la zone euro, puisque son pays fait partie des prétendants à la monnaie unique. En début de semaine, il avait menacé de ne pas signer le traité s’il n’obtenait pas gain de cause.
Soutenue par la Commission européenne et l’Allemagne, la Pologne a pourtant dû céder du terrain. En conférence…