Stupéfaction dans les rangs quand la France décide de bousculer l'ordre du jour d'un Conseil européen sans suspens pour faire avancer le dossier syrien.
Abordé dans la soirée, jeudi 14 mars, l'enjeu a largement occupé les débats du lendemain, initialement consacrés aux relations UE-Russie. Le but n'est pas de "conclure aujourd'hui", mais le sujet "est préempté par les chefs d'Etat", indique une source gouvernementale.
Droit de veto
L'escalade de la violence en Syrie conduit le tandem franco-britannique à pousser les…