"Nous avons attendu les Allemands six mois. On peut bien attendre les Italiens un mois".
À l’inverse des analystes, paniqués par la percée des mouvements eurosceptiques le 4 mars en Italie, les responsables européens rencontrés depuis ce jour-là par Contexte à la Commission européenne, au Parlement et dans les délégations des États membres à Bruxelles affichent une surprenante sérénité.
Les scores réalisés par les populistes du Mouvement 5 étoiles et le parti d'extrême droite Ligue du Nord sont pour eux…