Le dernier texte déposé par le gouvernement Barnier a le mérite d’exaucer un vœu du Premier ministre, qui promettait lors du Congrès des maires, le 21 novembre, des « lois moins bavardes ». Avec seulement trois articles, qui se contentent d’autoriser l’État à percevoir les impôts et à emprunter, l’engagement est rempli.
Cette rédaction minimaliste pourrait néanmoins avoir de sérieuses conséquences sur les politiques publiques, le temps qu’un projet de loi de finances (PLF) en bonne et due forme soit…