A chaque étape de la construction de l’Union bancaire, l’Allemagne voit toujours une raison de soulever des objections. La supervision bancaire ? Pas utile pour les petites banques. La recapitalisation directe ? Pas possible avant une supervision effective des banques, qui prendra du temps, beaucoup de temps. La restructuration des banques par un nouvel organisme européen ? Pas avant un changement de traité.
La stratégie commence à échauffer les esprits dans les rangs du parti socialiste. La diplomatie remisée au placard, Estelle Grelier pointe…