Douze années et les révélations des Bahamas Leaks auront été nécessaires pour découvrir qu’en 2004, l’ancienne commissaire européenne à la Concurrence a menti dans sa déclaration d’intérêts. Les règles de transparence de l’UE l’obligeaient à révéler qu’elle détenait des participations dans une société offshore, mais Neelie Kroes est passée outre.
La Néerlandaise plaide aujourd'hui l’oubli et la bonne foi. Mais le mal est fait. Sa nomination aurait-elle été approuvée par le Parlement à un poste aussi stratégique si les députés…