Le fonctionnement de l'Assemblée nationale est au bord de la thrombose. En cause, la multiplication des missions et groupes de travail, à tel point que cela inquiète les dirigeants de l'institution. Lors de la réunion du bureau du 9 octobre, le vice-président Sylvain Waserman (Modem) a présenté un plan de rationalisation des groupes d'études, en proposant la suppression de vingt-huit d'entre eux, dont l'activité est jugée trop faible.
Et deux semaines plus tard (22 octobre), en Conférence des présidents, c'est…