Le plan d’austérité de l’UE et du FMI impose aux Grecs de consentir d’importants sacrifices en matière de revenus et d’accepter un alourdissement de la fiscalité sur la consommation. En revanche, le budget militaire grec semble étrangement préservé de la cure.
Et pourtant, il est le plus élevé de l’UE (autour de 6 milliards d’euro) et le deuxième de l’OTAN si on le rapporte au PIB : 3% du PIB en 2008 contre 1,7% de moyenne dans les autres pays…