Le gouvernement grec a augmenté, mardi 6 février, la pression sur ses créanciers privés pour qu’ils participent à l’effort de réduction de la dette du pays. Les détenteurs de titres grecs doivent se décider, d’ici au jeudi 6 février, d’accepter où non l’offre d’échange faite par les autorités. La Grèce a laissé entendre qu’elle contraindrait ceux qui ne participeraient pas volontairement.
L’échange de titres devrait réduire la charge de la dette de 100 milliards d’euros. La participation du secteur privé…