Le 15 février, le gouvernement grec a été contraint de s’engager devant ses pairs de la zone euro à proposer d’ici un mois de nouvelles réductions des dépenses ou hausses d’impôts, si la réalisation de ses objectifs budgétaires s’avérait insuffisante. Réunis le lendemain à Bruxelles, les ministres des Finances de l’UE ont confirmé cette décision.
Depuis le sommet européen du 11 février, les marchés attendaient que les Vingt-Sept précisent les modalités pratiques d’un éventuel soutien à la Grèce. Ils sont…