La Grèce a besoin d’un deuxième plan d’aide mais les États achoppent sur la méthode. La réunion des ministres européens des Finances, hier à Bruxelles, n’a pas permis de lever les désaccords. En jeu, la participation des banques privées au paquet de 120 milliards d’euros dont la Grèce a besoin.
Défaut de paiement camouflé
Introduite par Berlin, l’idée est déclinée différemment selon les pays. Certains États, comme l’Autriche, sont partisans d’un soutien obligatoire des banques privées. D’autres, comme la France,…