Standard & Poor’s considère que les obligations du FESF ne sont plus totalement soutenues en raison de la qualité réduite de la signature d’États garants du fonds. L’agence de notation estime qu’aucune mesure susceptible de rehausser sa qualité de crédit n’a été prise.
Les responsables politiques peu inquiets
Mais les responsables politiques tendent à dédramatiser la décision de Standard & Poor’s.
Le 16 janvier, soit trois jours après la perte du tripla A français, le ministre des Finances François Baroin…