« Casse-toi, pov’con » : la CEDH veut en savoir plus

La Cour européenne des droits de l’homme demande des explications à la France sur la condamnation à une amende avec sursis de l’auteur de la banderole « Casse-toi, pov’con », destinée à Nicolas Sarkozy, en 2008.
03 mai 2011 à 11h23
Pouvoirs

Ressources

À lire également

« Casse-toi pov’con », la CEDH, et la liberté d’expression

Selon la Cour européenne des droits de l’Homme, la France a violé la liberté d’expression en condamnant l'homme qui a adressé cette réplique à Nicolas Sarkozy.

Contexte, l’info politique dont les professionnels ont besoin.

Essayez Contexte gratuitement

Essayez Contexte pour suivre les politiques publiques en France et en Europe

Recevez tous les matins dans votre boîte e-mail une sélection d’informations et d’analyses de notre rédaction

Accédez à des scoops et des ressources pour décrypter les enjeux et les rapports de force politiques

Suivez la fabrication des textes de loi en temps réel tout au long de la navette parlementaire