La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a indiqué avoir demandé, lundi 2 mai, des explications à la France concernant la condamnation d’Hervé Eon.
Le 28 août 2008, l’homme avait brandi une pancarte avec l’inscription « Casse-toi, pov’con », lors du passage du cortège présidentiel à Laval, en Mayenne. Jugé pour « offense au chef de l’État », Hervé Eon avait été condamné à une amende symbolique de 30 euros, avec sursis.
Après avoir contesté, en vain, sa condamnation…