Quelques mois après avoir lancé « casse-toi pov’con » à un homme qui refusait de lui serrer la main au salon de l’Agriculture, Nicolas Sarkozy a été accueilli par les mêmes mots lors d’une visite à Laval.
Hervé Eon, militant et ancien élu socialiste, attendait le président de la République muni d’une pancarte sur laquelle était inscrite cette phrase.
Au nom de la loi du 29 juillet 1881 sur la presse, le tribunal de grande instance de Laval a condamné M. Eon…