En juin dernier, les chefs d’Etat avaient ouvert la voie en réclamant un meilleur suivi de la zone euro, grâce à des « indicateurs appropriés en matière sociale ».
Trois mois plus tard, la Commission européenne leur emboîte le pas, malgré les fortes réticences de la direction des affaires économiques dirigée par le libéral finlandais Olli Rehn.
L’ambition de la communication du 2 octobre portée par le commissaire Laslo Andor se limite donc à une série de critères statistiques. Ces derniers sont…