Communistes, verts, socialistes et centristes tombent à bras raccourcis, depuis deux ans, sur le choix du gouvernement de désigner au sein de l’Assemblée nationale les deux députés européens supplémentaires octroyés à la France par le traité de Lisbonne.
Ils s’étaient tous jurés leurs grands dieux qu’ils ne participeraient pas à ce « scandale à l’état pur », cette « pantalonnade ». Selon eux, le gouvernement aurait dû sélectionner les personnalités les mieux placées sur les listes du scrutin de 2009…