Besson entend, mais ne tient pas compte. Mercredi 8 février, le ministre de l’Économie numérique a opposé une fin de non-recevoir aux critiques de la Commission européenne, dans une lettre adressée à sa vice-présidente Neelie Kroes.
La veille, Bruxelles avait menacé le gouvernement français d’une procédure d’infraction s’il nommait un commissaire du gouvernement auprès du régulateur national des télécoms (Arcep). L’exécutif européen craint que l’indépendance de cette autorité administrative soit remise en cause.
Aucune perte d’indépendance, selon Besson
Dans cette…