En annonçant, en mai dernier, une augmentation du budget de l’UE pour les pays du sud de la Méditerranée, la chef de la diplomatie de l’Union Catherine Ashton avait insisté sur le caractère conditionnel des aides. La priorité serait ainsi donnée aux États qui tentent de reformer leur régime politique.
Une fois l’Assemblée constituante formée, la Tunisie se lancera dans une réforme constitutionnelle. Le Maroc l’a déjà fait, sur fond de polémique liée aux conditions douteuses dans lesquelles le référendum…