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À huis clos, tech et ayants droit cherchent à s’entendre sur l’« opt-out » de l’IA

Depuis un an, Bruxelles accueille un échange entre ayants droit, fournisseurs d’IA générative et société civile, pour s’accorder sur la capacité à refuser l’entraînement d’une IA à partir d’une œuvre (« opt-out »). L’instance, informelle et discrète, a trouvé une raison d’être dans cet angle mort des grands dialogues sur l’IA menés par la Commission. Sans grand espoir toutefois d’aboutir à du concret.
31 octobre 2024 à 8h00
Médias
Discussion à huis clos — © Gremlin/Istock

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C’est la discorde entre ayants droit et fournisseurs d’IA. Pour les raccommoder, la Commission prépare un registre européen des accords et refus d’entraînement (« opt-out »), qu’elle veut voir arriver le plus vite possible. Coup de chance, une équipe soutenue par la Finlande et l’Estonie planche sur les standards qui pourront le rendre possible. Plongée dans les travaux de cette « Copyright Infrastructure Task Force » appuyée par la Commission.

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