Partage de l’effort climatique : les ONG craignent un faux départ

La Commission pourrait calculer les budgets carbone des États pour les secteurs non-ETS en partant des émissions moyennes de 2016 à 2018. Une méthode réduisant l’ambition climatique de l’UE à l’horizon 2030, selon le CAN Europe.
15 juillet 2016 à 8h30
Énergie
Un faux départ pour le partage de l'effort ? — RyanMcGuire

À lire également

Partage de l’effort : le rapporteur du Parlement plus ambitieux que la Commission

Dans son projet de rapport, le député européen Gerben Gerbrandy (Adle) propose notamment de réduire le mécanisme de flexibilité introduit pour les États dotés, comme la France, d’un secteur agricole important.

Accord de Paris: pour l’UE, la signature est facile, la traduction difficile

Plusieurs capitales veulent revoir le point de départ des réductions d’émission post-2020 dans les secteurs non-ETS. Un grand nombre de pays réclament également le renforcement des mécanismes de flexibilité proposés par la Commission.

Partage de l’effort sur le climat : la Commission introduit plus de flexibilité

Bruxelles a dévoilé ses propositions pour répartir entre les États les efforts climatiques dans les secteurs non couverts par l’ETS à l’horizon 2030. La difficulté de réduire les émissions de l’agriculture est prise en compte.

Contexte, l’info politique dont les professionnels ont besoin.

Essayez Contexte gratuitement

Essayez Contexte pour suivre les politiques publiques en France et en Europe

Recevez tous les matins dans votre boîte e-mail une sélection d’informations et d’analyses de notre rédaction

Accédez à des scoops et des ressources pour décrypter les enjeux et les rapports de force politiques

Suivez la fabrication des textes de loi en temps réel tout au long de la navette parlementaire