Élargir sa palette de sanctions. C’est une demande de longue date du gardien français de la sûreté nucléaire. Le gouvernement lui donnerait finalement satisfaction, à en croire les déclarations du président de l'ASN Pierre-Franck Chevet, lors d’un débat organisé par BIP/Enerpresse mardi 7 octobre.
L’Autorité de sûreté nucléaire peut, aujourd’hui, ordonner l'arrêt d'un réacteur nucléaire, dans des situations extrêmes. Elle dispose également de la possibilité d’envoyer des procès verbaux, ou de mettre en demeure un exploitant, en cas de non-respect…