Il est trop tôt pour parler de la sortie du nucléaire. Tout comme la réduction de ce qu’il représente dans la production d’énergie en France. C’est la principale conclusion d’une étude présentée par l’Union française de l’électricité (UFE) lundi 7 novembre.
Les énergéticiens de l’UFE ont formulé trois hypothèses pour 2030 et mesuré les conséquences de la diminution de la part du nucléaire dans le mix énergétique français sur les finances publiques, les émissions de CO2, la balance commerciale et…