À la tête de GRTgaz depuis 2013, vous avez été renouvelé dans vos fonctions en mai pour quatre années supplémentaires. Quelles sont vos priorités pour ce nouveau mandat ?
Il y en a deux. La première, c’est d’arriver à bien faire reconnaître le vecteur gaz comme un élément incontournable – pas central, mais indispensable – de la transition énergétique. Nous sommes dans une dynamique où l’on va vers une électrification plus grande, personne ne le conteste, et où le gaz…