Un compromis semble avoir émergé, vendredi 13 mai, à Bruxelles, lors de la réunion des régulateurs européens (Ensreg) en charge de la sûreté nucléaire.
Selon les premières informations divulguées par l’AFP, l’accord propose de différencier deux volets de tests : ceux touchant à la menace liée aux catastrophes naturelles d’une part, de ceux issus des risques humains, comme les chutes d’avions ou les attaques terroristes.
Mais les régulateurs ont souligné n’avoir aucune compétence pour les questions liées à la sécurité…