La réaction de Bruxelles est plus offensive qu'attendue. Après des mois de surveillance de la mise en œuvre du salaire minimum allemand, en vigueur depuis janvier 2015, la Commission européenne conteste la façon dont cette loi est appliquée au transport routier :
"C ette mesure crée des obstacles administratifs disproportionnés qui empêchent le bon fonctionnement du marché intérieur" , indique-t-elle dans un communiqué du 19 mai , annonçant l’ouverture d’une procédure d’infraction .