Avec Antoine Jacob, à Riga
Après l’ annonce par la Commission européenne, le 29 juin, des « heureux élus » qui bénéficieront d’un soutien du Mécanisme pour l’interconnexion en Europe (MIE), le gouvernement français s’est félicité d’être, sur la période 2016-2020, « le premier bénéficiaire des crédits européens ». De fait, avec deux méga-projets comme la (très controversée) liaison ferroviaire Lyon-Turin (813,7 millions d’euros d’aide prévus) et le canal Seine-Escaut (979,6 millions d’euros d’aide) – les deux projets qui se…