L’ouverture à la concurrence des trains d’équilibre du territoire plombée par le coronavirus

L’Élysée espérait faire circuler un premier « train de la concurrence » avant la présidentielle de 2022, au prix d’un calendrier extrêmement serré. Son ambition est anéantie par la crise sanitaire. De plus, selon nos informations, sur les quatre candidats, l’un renonce à concourir tandis qu’un autre s’interroge. Et ce, alors même que l’État a veillé à leur donner de nombreuses garanties.
18 septembre 2020 à 18h00
Transports
La concurrence buvant la tasse du coronavirus — Blake Cheek

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