On a connu des débuts moins chaotiques. Le lancement du dialogue stratégique sur l’avenir du secteur automobile a certainement pâti de la mauvaise grippe contractée par Ursula von der Leyen en ce début d’année. Comme s’il avait fallu honorer à tout prix le rendez-vous de janvier promis par la présidente de la Commission européenne quelques semaines plut tôt.
Mais l’organisation « à la va-vite », avec des invitations lancées très tard et, pour l’industrie, réservées aux seuls patrons, l’absence d’information…