Le sujet du rapport d'Antoine Fouilleron, sur la vente de données entre personnes publiques, rendu public vendredi 11 septembre, comble un angle mort de la politique d'open data.
Personne n'a jusqu'à présent été en mesure de décrire précisément ce qui se passe au sein de l'administration, les décideurs étant focalisés sur les relations entre l'administration et les "réutilisateurs" extérieurs.
L'enjeu n'est pas énorme, 20 millions d'euros, et budgétairement neutre, car les flux financiers sont internes à l'administration. Mais ce système…