Ryanair avait pourtant été clair dans ses conditions d’utilisation. La compagnie aérienne n’autorisait pas les tiers à récupérer les informations disponibles sur son site à des fins commerciales, sans contrat, ni convention.
Or, cela n’a pas empêché PR Aviation de tout collecter sans autorisation pour son comparateur de vols, et de proposer à ses clients, moyennant une commission, d'effectuer les réservations et achats de billets.
Le champ de la directive de 1996 étendu
Portée en justice, l’affaire dure depuis quatre…